On y est. Étudiant en dernière année de coopération internationale, j’ai la chance de terminer par un stage de 3 mois hors Europe en accompagnant dans son travail au Népal Bruno, coordinateur pour l’Asie de Solidarité Mondiale (WSM).
À travers le hublot, les montagnes dessinent un horizon coloré par le soleil se levant et trois-quart d’heure plus tard, Katmandou se profile. Arriver en tant que stagiaire au Népal, c’est découvrir un nouvel univers, de nouvelles manières d’appréhender le monde et de fonctionner pour une société.
Bruno m’héberge pour le début du séjour. Cette première semaine est pour moi l’occasion de travailler avec lui pour WSM, de découvrir des parties de Katmandou et de faire de nombreuses rencontres, auprès desquelles prendre des infos et quelques tuyaux sur le Népal. Parmi ces rencontres figurent les deux syndicats avec qui WSM travaille: NTUC, syndicat socio-démocrate et GEFONT syndicat Marxiste-Léniniste, tous deux liés aux partis au pouvoir.
Lors du premier contact avec les syndicats, je suis accueilli chaleureusement mais n’ayant pas encore mes marques, je reste en retrait, laissant Bruno parler, écoutant avec attention. La rencontre avec GEFONT s’accompagne d’une visite à leur centre de formation flambant neuf tandis que la rencontre avec NTUC s’accompagne d’un second rendez-vous où j’y présente alors mes objectifs de stage ainsi que mon parcours. Bruno m’aide en mettant en avant que je suis le premier stagiaire accueilli par WSM dans son travail avec les partenaires.
Cependant je reste suspicieux quant aux tâches qui vont réellement m’incomber dans les syndicats… Vais-je pouvoir apprendre du fonctionnement interne de ces syndicats, des outils que ces derniers utilisent? Ou atterrirais-je plus dans un rôle de secrétaire général de la gestion des ressources des cafetières?
De plus, il semblerait que le fait de m’accueillir en tant que stagiaire et les conditions de mon stage ne soient pas dénuées de sens politique: les deux syndicats étant en concurrence, être stagiaire en même temps dans les deux syndicats pourrait diminuer la confiance que ces derniers pourraient m’accorder par peur des conflits d’intérêts.
Quoiqu’il en soit, dès que j’aurais commencé mon stage au sein des syndicats, j’obtiendrai des réponses à mes questions.
À travers le hublot, les montagnes dessinent un horizon coloré par le soleil se levant et trois-quart d’heure plus tard, Katmandou se profile. Arriver en tant que stagiaire au Népal, c’est découvrir un nouvel univers, de nouvelles manières d’appréhender le monde et de fonctionner pour une société.
Bruno m’héberge pour le début du séjour. Cette première semaine est pour moi l’occasion de travailler avec lui pour WSM, de découvrir des parties de Katmandou et de faire de nombreuses rencontres, auprès desquelles prendre des infos et quelques tuyaux sur le Népal. Parmi ces rencontres figurent les deux syndicats avec qui WSM travaille: NTUC, syndicat socio-démocrate et GEFONT syndicat Marxiste-Léniniste, tous deux liés aux partis au pouvoir.
Lors du premier contact avec les syndicats, je suis accueilli chaleureusement mais n’ayant pas encore mes marques, je reste en retrait, laissant Bruno parler, écoutant avec attention. La rencontre avec GEFONT s’accompagne d’une visite à leur centre de formation flambant neuf tandis que la rencontre avec NTUC s’accompagne d’un second rendez-vous où j’y présente alors mes objectifs de stage ainsi que mon parcours. Bruno m’aide en mettant en avant que je suis le premier stagiaire accueilli par WSM dans son travail avec les partenaires.
Cependant je reste suspicieux quant aux tâches qui vont réellement m’incomber dans les syndicats… Vais-je pouvoir apprendre du fonctionnement interne de ces syndicats, des outils que ces derniers utilisent? Ou atterrirais-je plus dans un rôle de secrétaire général de la gestion des ressources des cafetières?
De plus, il semblerait que le fait de m’accueillir en tant que stagiaire et les conditions de mon stage ne soient pas dénuées de sens politique: les deux syndicats étant en concurrence, être stagiaire en même temps dans les deux syndicats pourrait diminuer la confiance que ces derniers pourraient m’accorder par peur des conflits d’intérêts.
Quoiqu’il en soit, dès que j’aurais commencé mon stage au sein des syndicats, j’obtiendrai des réponses à mes questions.
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